alone.forever

Qu'on soit riche ou pauvre, beau ou moche, célèbre ou non, à la rue ou dans un château; au fond on est tous pareil, on sort du même trou et on finira dans le même état. La poussière, ça n'juge pas.

Pensée du Mercredi 16 novembre 2011 à 15:38

Ces derniers mois m'ont rendue folle tu sais. Ne plus te parler, ne plus savoir ton humeur... Ca m'a déboussolée. J'ai beau te le dire, tu ne me crois pas, ou alors c'est que tu t'en contrefiche. Je ne te comprends pas. & pour tout te dire, je ne me comprends pas non plus. Je me demande ce que tu fais en ce moment. Je ne pensais pas que tu me manquerais autant. Comment on a pu en arriver là ? J'dois t'avouer que j'ai peur aussi. Peur qu'il t'arrive quelque chose & que je ne sois pas là alors que tu en aurais besoin. Pourtant t'as raison, il faut regarder les choses en face, ça ne pourra jamais marcher, on passe notre temps à se disputer, on passe notre temps à se détester mutuellement. Alors quoi ? Tu veux que je te dise que ça ne me fait pas de peine ? Je te mentirais & tu le sais. Si tu savais combien j'aimerais que tu lises ce texte... Mais tu ne le lira surement jamais. & même si tu le lisais, tu t'en ficherais complètement. Je n'oserais jamais te le dire, alors je l'écris ici, parce que tu sais que je ne suis de toute façon pas douée pour parler, & là je suis sûre que tu ne viendras jamais : Je t'aime & je suis désolée pour tout c'qu'il s'est passé.


***


J'aimerais bien t'y voir, accroché à ton téléphone en attente d'un de mes messages, connecté le plus souvent possible en attendant que j'arrive enfin, & même là tu attendras toujours que je fasse le premier pas, & pour te faire devenir fou je ne le ferai pas. C'est vrai qu'au fond tu dois y prendre du plaisir. Tu dois prendre du plaisir à me faire m'accrocher à toi un peu plus chaque jour, chaque minute, même chaque seconde. Tu prends un plaisir fou à être constamment dans mes pensées, parce que c'est ça, la seule chose qui te plait chez moi, c'est juste le fait que je sois completement folle de toi. Tu commences à y prendre gout, & ça ne me dit rien qui vaille... Avoue que tu ne me facilites pas les choses, j'en suis même à croire que tu aimes les compliquer. Je sais comment tu es. Je l'avoue, au début tout ça me faisait peur, le fait de penser à toi sans cesse, de toujours vouloir être avec toi, que tu me manques au bout d'une heure, oui tout cela me faisait peur.
Parce que toutes tes paroles me donnaient de l'espoir, j'avais peur de te perdre, peur de ce que je deviendrai sans toi... mais tu essayais peut-être de maintenir cette flamme, que j'étais d'ailleurs la seule à ressentir.

à court d'inspiration...

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